Nous soussignés,
1° M. KARSENTI Claude
2° M. Bruno JOLLIVET
Et,
3° DEFENSE DES CITOYENS
Association enregistrée sous le
N°16109470
Préfecture d’Antony le 13/01/1998,
Parution au JO du 07/02/1998 N° 2240
Domiciliée au 55 Route de Pont l’Evêque 27260 Cormeilles
Président Claude KARSENTI
4°Syndicat AECC
Ayant son siège
55 route de Pont l’Evêque 27260 Cormeilles,
Président M. Claude KARSENTI
Elisant tous 4 élisant domicile chez le
SYNDICAT AECC
Président M. KARSENTI Claude
55 Route de Pont L’Evêque 27260 CORMEILLES
A
TRIBUNAL
JUDICIAIRE EVREUX
Juge
d’instruction M. GERMON Antoine
30 rue Joséphine
27000
EVREUX
Le
03.03.2021
LRAR
Et,
Par
fax 0232295688 et mail à instruction.tj-evreux@justice.fr
instruction.tj-evreux@justice.fr
Plainte avec CPC le 24.05.2018
AFFAIRE 2019/00459 N°
INSTRUCTION 3/18/30
N° Parquet: N° de dossier : 18150000008
N° de
Parquet 1815000008 n° instruction JICABJI13 18000030
Doyen
GERMON Antoine
www.voyousdelarepublique.fr
Objet : complément de plainte, retour du
dossier à l’instruction.
Monsieur,
Après avoir acté le
30.11.2020, premier paragraphe de votre courrier, la constitution de partie civile de notre
Parti Politique DEFENSE DES CITOYENS dans ce dossier AINSI
QUE CELLE DU Syndicat AECC, objet de notre courrier commun du 09.11.2020 dans une plainte en cours.
Il y a lieu de poursuivre
l’instruction falsifiée par votre prédécesseur,
ordonner le dépôt du dossier au greffe pour y être
repris s'il survenait des charges nouvelles en l’occurrence :
·
La restitution des sommes bloquées en 2009, à la
demande de la MSA, issues de la cession du bien immobilier appartenant à M.
JOLLIVET Bruno,
·
Et la mise en cause dans ce dossier des Coupables visés, en tant qu'auteurs et
complices des crimes visés et autres délits, par la présente et tous autres que
l'instruction viendrait à en révéler la responsabilité à savoir :
1) Bertrand BRUSSET, magistrat au TGI
d’Evreux,
2) Patrice LEMONNIER Avocat général près la
cour d’appel de Rouen,
3) Bruno LE BECACHEL Président de la chambre
de l’instruction de la cour d’appel de Rouen,
4)
M. Edouard de ROTHSCHILD, demeurant 18 rue Jean Goujoin
75008 Paris Téléphone 0140744022/ 0142254177 instigateur des agissements
criminels à nos endroits, ami intime des
pédophiles José Bruneau de la Salle et Jeffrey EPSTEIN comme son prédécesseur
Jean Luc LAGARDERE et son épouse Betty, et protégé par Jean François CORMAILLE DE
VALBRAY, Substitut du procureur général près la cour d’appel de Paris et
pantouflard en qualité de juge d’appel à la commission supérieur d’appel de
France Galop aujourd’hui à la retraite, Arrêté du 2 octobre 2013 portant admission à
la retraite.
5) M. BLIN Philippe, président de la 6ème
chambre du tribunal de commerce de Versailles,
6) l’indélicate Delphine DUMENY « La main du
Diable » qui officie en qualité de Présidente au Tribunal paritaire des baux ruraux 78105
SAINT GERMAIN EN LAYE
En effet,
l’affaire est simple mais rendue compliquée pour les besoins de la cause des
mafieux mis en cause et pour cause :
A l’origine
la SARL Société d’Entraînement Bruno JOLLIVET sise au 4 avenue de Sainte Hélène
78600 Maisons Laffitte se situe entre les 2 écuries de la SARL Société
d’Entraînement Yann et Carlos LERNER qui croît au point de lorgner sur notre
écurie.
Il aura le
soutien de son important propriétaire de chevaux de course en la personne de José
Bruneau de la Salle membre
du Comité de France Galop et directeur du centre d’entrainement de Maisons
Laffitte et ami de Edouard de Rothschild…
La rupture de l’équilibre des droits
des parties et de la légalité est consommée et organisée
Il
faut sauver le frère maçon DE ROTHCHILD Edouard,
ami de Jeffrey EPSTEIN et de Bruneau de la Salle pédophiles notoires.
En effet, le
stratagème utilisé harcèlement de la Sarl société d’Entraînement Bruno JOLLIVET
par France Galop qui sera le bras armé de la Mutualité Sociale Agricole et de
l’institution judiciaire à travers la crapule Jean François CORMAILLE DE VALBRAY,
Substitut du procureur général près la cour d’appel de Paris et pantouflard en
qualité de juge d’appel à la commission supérieur d’appel de France Galop
aujourd’hui à la retraite, Arrêté du 2 octobre 2013 portant admission à la retraite.
Association loi 1901 qui « brasse »
plusieurs milliards d’€ par an issus des enjeux des parieurs, ne respecte pas la
législation sur les associations et son Conseil d’Administration, autoproclamé,
se contente de donner quitus permanent à son Président toujours mis en place
par voie de cooptation…de M. Jean Luc
LAGARDERE à ROTHSCHILD.
50% des membres du Comité de Direction sont cooptés et
médiatiquement connus nous y trouvons LAGARDERE
Jean Luc, François BAYROU, Noël FORGEAT, Hervé MORIN, José BRUNEAU DE LA SALLE..
Les véritables acteurs économiques n’ont aucun pouvoir
et certaines associations sont complices par conflits d’intérêts.
Nous considérons le pouvoir souverain de France
Galop comme une rupture de légalité
devant les charges.
Elle n’hésite pas non plus à saisir la MSA,
l’inspection du travail agricole et autres organismes pour des contrôles
inopinés dans les entreprises de nos adhérents qui ne les adoubent pas.
Nous avons l’intime conviction de la présence d’abus
de biens sociaux.
Mais comme cela ne
suffisait pas à casser notre résistance à nous opposer à cette affiliation
illégale à la CMSA, entrait en action
une association loi 1901 FRANCE GALOP entre les mains de cooptés et de coquins
instrumentalisée par le ministère de l’agriculture pour des opérations
glauques…et surtout entraver l’exploitation normale des activités de nos
adhérents au prétexte d’un code des courses tout aussi illégal et
inconstitutionnel adapté aux circonstances avec le soutien actif de JEAN FRANÇOIS
CORMAILLE de VALBRAY…Lequel
officiait dans l’ombre et illégalement dans cette officine France GALOP alors
que magistrat en exercice que DEFENSE DES CITOYENS a bien connu au procès
BRENCO où il officiait en qualité d’avocat général.
Alors bien évidemment CES COQUINS ont édicté leur
code illégal, sur les conseils de JF CORMAILLE
DE VALBRAY, Substitut du procureur
général près la cour d’appel de Paris et juge d’appel à la commission supérieur
d’appel de France Galop, qui n’est
ni propriétaire ni élu à France Galop véritable cloporte sans légitimité,
avec la complaisance de la tutelle qui tire avantage de la nébulosité
financière des sociétés de courses et du PMU.
Informations générales sur CORMAILLE-DE-VALBRAY JEAN FRANCOIS qui utilise
sa carrière en conflit d’intérêts…
CORMAILLE-DE-VALBRAY
JEAN FRANCOIS, Profession libérale, a
débuté son activité en juin 1989. Le siège social de cette entreprise est
actuellement situé 8 Avenue Delcasse -75008 Paris
CORMAILLE-DE-VALBRAY JEAN
FRANCOIS évolue sur le secteur d'activité : Activités
juridiques et comptables (conflits d’intérêts)
Raison sociale |
CORMAILLE-DE-VALBRAY JEAN FRANCOIS |
Adresse |
8 AVENUE DELCASSE 75008
PARIS 8 |
|
|
création |
le 28/06/1989, SIRET352 316 418 00024 code APE/NAF 6910Z/Activités juridiques |
|
Plusieurs de nos
adhérents ont subi les foudres de ce tribunal d’exception, voulu par le
triumvirat SARKOZY/JUPPE/BAZIRE, victimes des agissements de France GALOP,
des faux établis par ROTHSCHILD Edouard….tel que reconnu pourtant par un
réquisitoire introductif du parquet de
Paris le 16.12.2010 référence P
100982302/8 laissé sans suite…car pouvant aboutir à l’effondrement d’un
système de corruption active et des
responsabilités à un haut niveau. |
Rien ne nous aura été épargné, un marathon
judiciaire, des magistrats indélicats qui discréditent, par corporatisme
déviant, l’institution judiciaire et pour certains pédophiles notoires ou
pervers sexuels voir vidéo
« Anonymous »
Vidéos de Q ANON GHOST
INTERNATIONAL | VK
Sans oublier Marc BOURRAGUE, pervers sexuel qui se faisait pisser dans la bouche
par Mme TIBLEMONT, qui a sollicité la liquidation judiciaire de la SARL Société d’Entraînement Bruno JOLLIVET en audience du tribunal de commerce de Versailles le 24.04.2015, par l’intermédiaire de Laurence MASSAL, en mesure de
représailles pour l’avoir reconnu lui l’ami d’ALEGRE Patrice demandera la
résolution du plan et la mise en liquidation de la SARL..
Une
escroquerie par escroquerie au jugement de
France
GALOP et COSME ROGEAU
Devant le
tribunal paritaire des baux ruraux de Saint Germain en Laye
Pour expulser M. JOLLIVET
Bruno en nom propre alors qu’il est gérant d’une SARL qui paye les loyers à
France GALOP pour l’exercice de sa profession d’entraîneur public de
chevaux de courses depuis sa création le 01.01.1996.
Le tribunal est saisi par
l’association France GALOP non pas contre la SARL Société d’Entrainement Bruno JOLLIVET
mais contre M. JOLLIVET Bruno en nom propre stratagème choisi pour l’évincer de
son domicile sis au lieu d’exercice de son activité d’entraîneur à savoir loué
à la SARL qui sera illégalement mis en liquidation judiciaire avec la
complicité des magistrats visés indignes.
Méconnaît la règle
cardinale selon laquelle une personne de droit privé ne peut -être créée par un
acte de la puissance publique. Elle ne peut le faire que sur le fondement
initial des statuts privés signés par le nombre requis d’adhérents et publiés
selon la loi.
On est consterné d’avoir à
rappeler ce principe de droit élémentaire que nul n’a le droit d’ignorer.
De sorte que l’association
France GALOP n’a aucune existence légale ni qualité à agir qui imposent au
tribunal de vérifier cela en ordonnant la remise des actes fondateurs de
l’association qui se prévaut d’un code des courses tout aussi illégal et
anticonstitutionnel.
En effet, de 1996 au
30.06.2007 France Galop facturera des loyers soumis à TVA à la SARL Société
d’Entraînement Bruno JOLLIVET pour 149228€ TTC et 24456€ de TVA.
Loyers payés par la seule
SARL.
De juillet 2007 au
31.03.2016, France Galop, de façon unilatérale et sans notre consentement,
facturera des fermages mensuels à M. Bruno JOLLIVET pour la somme de 151288€
payés par prélèvement direct sur le compte de la SARL sans notre autorisation
constituant une véritable escroquerie
(notre lettre à FG du 04.05.2014) d’autant plus qu’elle ne relève pas du
monopole bancaire qui lui interdit les opérations bancaires qu’elle opère en
permanence avec tous les adhérents...Qu’elle reconnaîtra par un courrier du
03.03.2017 après que nous ayons porté l’affaire en justice…
Dès lors vous constaterez
que FG, pour les besoins de sa cause, agit comme un état dans un Etat de Droit
en toute impunité et devra rembourser à la SARL tous les loyers payés par elle
par prélèvement illégaux sur son compte géré par FG.
La morale et l’image des courses que France GALOP
entend imposer sont celles-ci :
Les chevaux du clan de BEN ALI. M. de ROTHSCHILD devra s’expliquer sur le transfert de propriété
des chevaux de M. Slim CHIBOUB la veille
de l’intervention de Maître BOURDON de l’association SHERPA et après les
révélations de M. Salah HARBAOUI .
Airbus Noël FORGEAT, Publié
le 04/09/2009 à 14:28 - Modifié le 04/09/2009 à 14:46 Le Point.fr
FRANCE
3
Comment Michel DENISOT a
raflé le jackpot du tiercé
Michel Denisot et sa femme, le 26
janvier 2003, lors du Grand prix d'Amérique © Serge Arnal/ABACA
La
retransmission des courses hippiques revient sur France 3 à compter du lundi 7
septembre, à 13 h 35. Les courses ? Un jackpot de plus de 25 millions d'euros
sur trois ans tombé dans l'escarcelle de... Michel Denisot
et de son associé Renaud Le Van Kim (KM, société de productions
audiovisuelles). L'animateur du Grand
Journal de Canal + a, en effet, remporté, début août, l'appel
d'offres de la production des images des courses ainsi que le programme court
qui accompagne sur l'antenne de France 3 les paris hippiques.Un
grand chelem qui s'est construit sur un duel fratricide entre Denisot et son adversaire, Jean-Louis BURGAT, le partenaire
traditionnel du monde des courses, désormais délogé de la place... Fratricide,
car les deux hommes étaient, jusqu'à une période récente, très liés. Burgat est le parrain de la fille de Michel Denisot. Ils partaient ensemble en vacances, avec épouses
et enfants. C'est Burgat qui a introduit Denisot dans le monde du cheval. Naturellement, l'amertume
est vive aujourd'hui chez son ancien ami...
Car l'empoignade autour du business des chevaux a donné lieu à de multiples
coups bas, à des pressions de toutes sortes sur le monde hippique, trot et
galop réunis. Les réseaux francs-maçons ont été mis à contribution. Même
Matignon a été sollicité, c'est dire...
Vu la révélation
compromettant Eric WOERTH pour avoir facilité la
vente d'une parcelle de la forêt de Compiègne à une association privée, la
Société des courses de Compiègne, pour un montant de 2,5 millions € alors
qu’elle en vaudrait au moins 20, et du fait que le dirigeant de cette société,
un certain Antoine GILIBERT, est un membre éminent de l’ UMP , et surtout qu’il
est l'un des dirigeants de France Galop,
société organisatrice des courses nationales de chevaux, où Florence
WOERTH siégeait, il faudrait qu’on parle désormais de ce qu’on peut appeler «
la Connexion Hippique du Premier Cercle. »
BELINGUIER
LEFOLL CAHUZAC
Décoré
officier de la légion d'honneur par Noël FORGEAT sur proposition du
Ministre du Budget CAHUZAC...
TOUT UN
SYMBOLE DE LA GAUCHE CAVIAR
LA BOUCLE
EST BOUCLEE
Décret du
29 mars 2013 portant promotion et nomination
Quand Florence
WOERTH quitte France Galop, elle ne craint pas le chômage, car elle a déjà son
poste de directrice des investissements dans la société CLYMENE qui gère les
intérêts de Liliane BETTENCOURT. En octobre 2008, elle lance son écurie de
chevaux « DAM’ S », réservée aux femmes.
Une écurie
qu’elle crée avec quelques épouses de milliardaires – l’on peut supposer que
ces messieurs devaient faire partie ou tourner autour du premier cercle des
amis du nouveau président élu, en profitant de la loi « TEPA » (Travail, Emploi
et Pouvoir d’Achat). Une loi concoctée par son cher époux, sous l’inspiration
de son président, pour le bien de « la France qui se lève tôt le matin ».
Et pour renforcer l’histoire d’amour et la connexion hippique, c’est
naturellement France Galop de Rothschild qui a fait la promotion du Club de Dam
’s de Florence WOERTH , en affirmant que « Loin d’être
un luxe égoïste, cette passion fait vivre une filière économique agricole de 67
000 emplois dans l’Hexagone » ! Ouf ! 67000 emplois sauvés. Pôle- Emploi l’a
échappé belle !
WILDENSTEIN, WOERTH , ROTHSCHILD, BELINGUIER et toujours la connexion
hippique
Il
faudrait être aveugle pour ne pas voir de conflit d’intérêt quand l’épouse du
ministre qui va traiter des jeux en ligne crée une société avec comme
actionnaire première l’épouse du président du PMU !
Hervé
Morin: une passion du cheval qui
rapporte
Si vous avez
écouté France Inter ce matin, vous vous êtes rendu compte qu'Hervé Morin,
ancien ministre de la Défense et tout nouveau candidat à la présidentielle,
avait tendance à s'énerver facilement. Interrogé par Patrick Cohen sur d'éventuels
conflits d'intérêt, à propos de la vente, en décembre 2007, d'un de ses pur-sangs à un émir de Dubaï, à un moment où la France
négociait avec l'émirat des contrats de défense, il a totalement pété les
plombs.
«Vous dites
n'importe quoi!», «vous ne connaissez pas le sujet!», a notamment lancé le
patron du Nouveau centre. Patrick Cohen ne s'est pas démonté, et il a insisté,
en expliquant qu'Hervé Morin avait rencontré « à six reprises » le
cheik Mohammad al-Maktoum, qui avait acheté le
pur-sang. D'où un énervement supplémentaire de Morin assurant que Cohen
confondait al-Maktoum avec un autre « cheikh
Mohamed » qui « gère les questions de défense pour les Emirats arabes
unis ». Selon Morin, al-Maktoum «n'a absolument
aucune fonction et aucune responsabilité sur ce sujet» et «est le plus grand
propriétaire de chevaux au monde», et d'ailleurs, il ne l'a « jamais
rencontré ».
Qui a raison,
alors? Ni l'un, ni l'autre en fait, mais c'est Morin qui est le plus loin de la
vérité, car vérification faite, il a bien rencontré al-Maktoum,
au moins à trois reprises. Une fois en mars 2008, lors de la Dubaï World Cup, une manifestation hippique (des photographies en
attestent, là et le photographe
Jean-Claude Brien, interrogé, confirme que les deux
hommes donnaient l'impression de se connaître), une autre fois, lors du Dubaï
Air Show, manifestation aéronautique, en novembre 2009 (comme c'est indiqué, ici), et une autre fois lors d'un
déjeuner à l'Elysée, le 21 mai 2008. Interrogé tout à l'heure, Morin se
souvient bien des deux rencontres à Dubaï mais raconte qu'elles ont été très
brèves: « Je lui ai serré la main, en public, et on s'est juste dit
bonjour, au-revoir ». Quant au déjeuner à l'Elysée, il n'en a aucun
souvenir, « mais de toute façon, je n'ai pas pu discuté avec lui à cette occasion ».
Morin assure
qu'au grand jamais, il ne s'est servi de ses fonctions de ministre pour
négocier la vente de son cheval. Et il justifie son énervement par les attaques
« de mauvaise foi » de Cohen. Il est vrai que le journaliste de
France Inter a fait erreur en évoquant six rencontres avec le cheick al-Maktoum. Interrogé,
Cohen évoque notamment un agenda du ministre de la Défense datant d'octobre
2007, et indiquant que Morin, en tournée à Dubaï, avait vu al-Maktoum (agenda consultable ici). Mais, selon Morin, si cette rencontre était bien
prévue, elle n'a pas eu lieu. Le témoignage photographique d'un élu qui a
voyagé avec Morin semble donner raison à l'ancien ministre. Aucune photo des
deux hommes n'est alors publiée (voir ici). Enfin, Morin a eu raison, quand
il a dit que les négociations sur les contrats de Défense passés avec la France
ne s'étaient pas déroulées avec ce cheikh là. C'est
un autre Mohammed, Bin Zayed Al-Nahyan,
qui était à la manoeuvre.
Reste que cet
échange particulièrement violent vient rappeler un épisode passé assez inaperçu
à l'époque. En décembre 2007, Hervé Morin a effectué une transaction pour
plusieurs millions d'euros avec un chef d'Etat étranger, dont le pays négociait
des contrats avec la France.
Les
conditions de cet achat, Morin les raconte volontiers. Dans les années 2000,
avec plusieurs amis (Jean-Jacques Robineau, Eric Pokrovsky), il acquiert régulièrement des yearlings. En
2006, les trois associés font l'acquisition de Literato,
un jeune poulain de 18 mois, pour 40 000 euros. Morin en possède alors 34%. A
la surprise de tous, Literato se révèle vite un
crack: il finit deuxième du prix du Jockey-Club, le championnat de France des poulains,en juin 2007 à Chantilly,
puis remporte son premier Grand Prix lors des Champion Stakes
à la mi-octobre 2007 à Newmarket en Angleterre. « Literato
était alors le meilleur cheval d'Europe », raconte Morin.
Quelques
semaines plus tard, son entraîneur Jean-Claude Rouget reçoit une offre d'achat
de la part de l'écurie du cheick al-Malkoum. «Avec mes deux associés, il nous a fallu prendre
une décision en vingt-quatre heures pour accepter l'offre d'achat des frères Maktoum», déclare à l'époque Morin. Une version qu'il
répète aujourd'hui: « Le mercredi, on a eu l'offre, et le vendredi, Literato était parti ». Le milieu des courses évoque
alors une transaction de 3 à 6 millions d'euros. Morin refuse de donner le
chiffre exact, en raison d'une clause de confidentialité signée avec l'écurie
al-Maktoum. Mais, interrogé hier, il indiquait que
cette fourchette n'était pas fausse, et qu'il avait bien touché 34% de cette
somme. Soit de 1 à 2 millions d'euros. Une sacrée plus-value!
« J'ai
naturellement déclaré cette somme et payé les impôts afférents, ajoute Morin.
Et cela m'a permis de réaliser le rêve de ma vie », à savoir acheter une
propriété de 18 hectares à Saint-Sylvestre de Cormeilles, dans l'Eure, pour y
élever des pur-sangs. Les choses se sont déroulées
assez vite. Selon le greffe du tribunal de commerce de Pont-Audemer, dès juin
2008, Morin avait en poche 600 000 euros qui lui ont servi d'apport pour créer
l'exploitation agricole à responsabilité limité (EARL), dénommée Ecurie La
vallée Martigny, la structure juridique qui possède les chevaux.
Le plus troublant
dans cette histoire, c'est que jamais le soupçon de conflit d'intérêt n'a
effleuré Hervé Morin. A l'époque, il ne parle pas de son opération au Premier
ministre. Et il ne pense même pas à lui demander une quelconque autorisation.
Pourtant, comme le rappelait hier Patrick Cohen, il n'est pas anormal qu'un
homme d'affaires devenu ministre mette entre parenthèse ses anciennes
activités. «Bernard Tapie avait bien dû se séparer d'Adidas », rappelle le
journaliste de France Inter. Qui déplore: « Je voulais lui demander s'il
était normal qu'un ministre de son rang puisse faire des affaires avec un chef
d'Etat d'étranger, mais la discussion n'a pas pu avoir lieu ».
Photo © Mychèle Daniau. AFP
Hervé Morin avec son cheval Literato
en août 2007 à Deauville.
Bien
sûr nous sommes habitués à ses frasques n’a-t-il pas
assisté au débarquement allié lors de la 2ème guerre mondiale ?
Est-ce
la bonne image des courses que cela ?
FRANCE
GALOP SE SUBSTITUE à la puissance publique même en matière pénale et cela aidée
en la personne de Jean François CORMAILLE DE VALBRAY, Substitut
du procureur général près la cour d’appel de Paris et juge d’appel à la
commission supérieur d’appel de France Galop et de M. ROBERT JUGE AU TGI DE
Paris.
Il est
vrai que ce magistrat est connu pour ses magouilles :
Une autre affaire sensible a fait l’objet d’un
non-lieu discret à Nanterre
Le directeur de
cabinet d’Alain Juppé était intervenu dans le rachat de la Compagnie
générale maritime par Jacques SAADE.
Restée confidentielle jusqu’ici, la décision, prise
dans la torpeur d’un été caniculaire, sème un certain trouble au tribunal de
Nanterre (Hauts-de-Seine). Le 1er août 2003, Jacques Saadé,
un armateur franco-libanais, a bénéficié d’un non-lieu dans l’enquête sur le
rachat de la Compagnie générale maritime (CGM) par sa société, la Compagnie
maritime d’affrètement (CMA).
Poursuivi depuis le 27 novembre 1997 pour "abus
de biens sociaux", M. Saadé était accusé
par son frère, Johnny - à l’origine de la procédure judiciaire -, d’avoir
acquis la CGM au moment de sa privatisation, en octobre 1996, pour une somme
inférieure à sa valeur, en profitant d’amitiés politiques, et d’avoir indûment
utilisé la trésorerie de la CGM au profit de la CMA. Surveillée de près par
l’Elysée depuis son origine, l’enquête s’est offert un épilogue inattendu.
Le mercredi 30 juillet 2003, le juge d’instruction
Frédéric Campi, alors en instance de départ du
tribunal de Nanterre - il a pris ses fonctions au tribunal de Marseille en
septembre 2003 - signifiait au parquet la clôture de son instruction. Deux
jours plus tard, vendredi 1er août, Jean-François de Valbray,
premier substitut, transmettait à M. Campi des
réquisitions de non-lieu en faveur de M. Saadé. Le même jour, le juge Campi
rendait, juste avant de quitter définitivement le cabinet d’instruction
n° 5, une ordonnance de non-lieu dans laquelle il se bornait à indiquer
qu’il adoptait "les motifs énoncés au réquisitoire" du parquet,
concluant ainsi qu’"il n’existait dès lors pas de charges suffisantes
contre M. Jacques Saadé d’avoir commis les
infractions susvisées".
ABANDON DES POURSUITES
Dans son réquisitoire, le substitut du procureur avait
assuré que "les mouvements financiers querellés, concernant pour
l’essentiel l’usage fait par la CMA de la trésorerie de la CGM (...) ont été
justifiés tant par leurs écritures comptables que par l’intérêt du groupe
CGM-CMA". "Attendu que la réussite économique de la fusion de ces
deux sociétés, intervenue en 1999, est désormais avérée (...) ; que les
deux parties civiles, M. Johnny Saadé et le
comité central d’entreprise, se sont désistées de leur constitution le 19
septembre 2000 et le 5 juin 2003 (...) ; que les expertises,
contradictoires entre elles, n’ont pas permis de mettre en évidence les
manipulations susceptibles de caractériser l’élément matériel de l’escroquerie
à la privatisation par présentation de faux bilan et surestimation
d’actifs", le substitut préconisait l’abandon des poursuites.
Le
parquet requiert la remise en liberté de Pierre Falcone dans l'affaire de l'Angolagate
Le Monde | 04.12.2009 à 14h16 • Mis à jour le
04.12.2009 à 14h16 | Par Pascale Robert-Diard
L'audience était réglée
comme du papier à musique. Après les plaidoiries de ses deux avocats, Mes
Pierre-François Veil et Emmanuel
Marsigny, Pierre
Falcone a trouvé, jeudi 3 décembre devant la cour d'appel de Paris, un
appui spectaculaire auprès du parquet général en faveur de sa remise en
liberté. L'avocat général, Jean-François Cormaille de Valbray,
a écarté tous les arguments qui avaient justifié le mandat de dépôt décerné à
l'audience, mardi 27 octobre, par la 11e chambre du tribunal
correctionnel de Paris contre le principal prévenu de l'affaire de l'Angolagate, condamné à six ans de prison ferme pour trafic
d'armes et corruption.
Il a en effet estimé que
ce placement immédiat en détention posait "de réelles difficultés
juridiques", au regard de l'immunité diplomatique dont bénéficie M.
Falcone, qui a été nommé ambassadeur de l'Angola auprès de l'Unesco en 2003.
Cette immunité, a affirmé l'avocat général, "a pour fonction de rendre inviolable la liberté d'aller et de venir des diplomates". Elle est donc incompatible,
selon lui, avec un emprisonnement tant que la peine n'est pas définitive.
Le tribunal avait au
contraire estimé dans son jugement que les fonctions diplomatiques dont se
prévaut l'homme d'affaires "ne lui confèrent ni l'inviolabilité ni
l'immunité pour les délits dont il est l'auteur". Il avait en outre
justifié cette mesure d'emprisonnement en soulignant qu'il était "plus
que probable, au regard de la nature des faits et du quantum de la peine
prononcée, qu'il ne se soumette pas aux actes de la procédure jusqu'à la
complète exécution d'une décision définitive".
Réglé au sommet de l'Etat
Là encore, le parquet
général a volé au secours de Pierre Falcone, en soulignant qu'il avait respecté
"la confiance" qui lui avait été accordée en assistant à
toutes les audiences de son procès
et en déposant au fil de la procédure judiciaire une caution de 10 millions
d'euros. Plus exceptionnel encore de la part d'un représentant du parquet, Jean-François Cormaille de Valbray a conclu son réquisitoire en appelant solennellement
la cour au "respect du grand principe de la présomption
d'innocence". Celle-ci a mis son arrêt en délibéré au jeudi 17
décembre.
Soucieuse paraît-il de la bonne image des courses, cette
association s’érige en juge, procureur et en puissance publique par ses appuis
politiques qui lui ont donné des pouvoirs incommensurables et une impunité
totale permettant à son Comité de gestion les pires dérives qui donnent l’image
des courses la plus défavorable à savoir :
DROGUE CONFLITS
D’INTERÊTS BLANCHIEMENT ARGENT ET SEXE
PUISSANCE PUBLIQUE PAR DESTINATION, FRANCE GALOP, par le
biais d’un code des courses qu’elle édicte sous le contrôle de
Jean François CORMAILLE DE VALBRAY Substitut du procureur général près la cour
d’appel de Paris et juge d’appel à la commission supérieur d’appel de France
Galop,
Suscitant bien de réactions démontrant la mauvaise image
des courses donnée par FRANCE GALOP
TRACFIN, Traitement du renseignement et action contre
les circuits financiers clandestins
Le blanchiment de l’argent
sale, fruit notamment des revenus générés par le trafic de drogue, constitue un
phénomène transnational. Sa mondialisation étroitement liée à celle de
l’économie s’appuie sur les technologies les plus récentes, favorables à la
circulation accélérée et à l'opacification des flux de capitaux frauduleux.
Afin de lutter contre ce phénomène, TRACFIN, service à compétence nationale
rattaché aux ministères de l’Economie et du Budget, agit tant au niveau
national qu’international. Il joue un rôle majeur au niveau de la collecte
d’informations et de leur transmission à la justice. Il est aussi l’interlocuteur
privilégié des professionnels concernés.
Les actions du ministère
de la Justice sont menées en étroite collaboration avec la Mission
interministérielle de lutte contre les drogues et la toxicomanie (MILDT) et les ministères concernés par cette
problématique.
Au sein de la DACG, deux bureaux de la Sous-direction de la Justice pénale
spécialisée assurent principalement l’interface entre le ministère de la
Justice et la MILDT : le bureau de la santé publique, du droit social et de
l’environnement qui traduit en actions concrètes les directives de politique
pénale concernant le traitement judiciaire des addictions et des dépendances et
le bureau de lutte contre la criminalité organisée, le terrorisme et le
blanchiment, compétent pour tout ce qui concerne les trafics de stupéfiants
liés à la grande criminalité. La lutte contre le trafic, et l’économie
souterraine qui en résulte, est d’ailleurs aujourd’hui une priorité judiciaire,
tant au plan national qu’au plan international, avec la création de plusieurs
équipes communes d’enquête en la matière.
Ce jour, nous avons faxé à
la Police des Jeux des situations pour le moins scabreuses mettant en scène
sexe drogue membre de France GALOP M. José BRUNEAU DE LA SALLE jockeys et
entraîneurs.
Est-il normal que ce
membre du Comité de France Galop, pour assouvir ses « passions »
profite de ses positions pour son intérêt personnel ?
Qu’il organise un réseau
influent à France Galop pour assouvir une de ses passions préférée ? SEXE DROGUE CONFLITS
D’INTERETS ESCROQUERIE seraient le quotidien à France GALOP ! De tout cela
ROTSCHILD Edouard le sait et y participe.
http://www.cercle-tourbillon.com/
Est un site qui est fermé
depuis quelques mois qui permettait à tous et principalement des acteurs monde
des chevaux de course au galop de s’exprimer fort heureusement nous avons
téléchargé les bonnes pages qui laissent apparaître la très mauvaise image des
courses ce qui a conduit vraisemblablement à sa fermeture.
En France qui peut juger
sereinement de la délinquance judiciaire ? Bien la loi de moralisation de
la vie politique mais sans justice impartiale, pivot de la démocratie, point de
démocratie.
Et c’est bien pourquoi,
La
règle déterminant comment un peuple s’organise et choisit ses représentants se
nomme « constitution ».
Celle à l’origine de la Nation française est la « Déclaration des Droits de
l’Homme et du Citoyen ».
Elle
précise que 2 conditions sont nécessaires pour que la constitution soit valide:
– 1) Le respect par les dirigeants de la « Garantie des Droits » des citoyens,
annulé par « l’état d’urgence ».
– 2) La séparation des pouvoirs: le 6 décembre, le gouvernement a passé un
décret annulant la séparation des pouvoirs, mettant la cour de cassation sous
le contrôle des politiciens.
La
constitution française n’existe donc plus.
HOLLANDE
« Cette institution, qui est une institution de lâcheté... Parce
que c'est quand même ça, tous ces procureurs, tous ces hauts magistrats, on se
planque, on joue les vertueux... On n'aime pas le politique. La justice n'aime
pas le politique... ».
Vu le décret du 5 décembre 2016 que l’ex-premier ministre et président du conseil
d’Etat, le républicain socialiste français Manuel VALLS a signé à l’heure de sa
démission pour placer la tête de l'autorité judiciaire républicaine suprême sur
le billot du pouvoir exécutif – là où jusque l'article 16 de la déclaration des
droits de l'homme de 1789 tonne que toute société dans laquelle la séparation
des pouvoirs n'est pas assurée n'a point de constitution (http://www.humanite.fr/le-controle-par-linspection-generale-des-services-judiciaires-menace-t-il-la-justice-630018) - ; vu l’apparence de légalité du
décret malgré les protestations des premier président et procureur général de
cassation Bertrand LOUVEL et Jean-Claude MARIN – avec le concours actif du
président de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du
suffrage universel, du règlement et d’administration générale au sénat Philippe
BAS qui se réfère le 13 décembre 2016 à l’article 16 sus-cité :
« (…) peut-on admettre l’extension des compétences de cette nouvelle
inspection à la Cour de cassation (…) ? Peut-on admettre que, par
l’intermédiaire de cette nouvelle inspection, le pouvoir exécutif puisse
contrôler la façon dont la plus haute juridiction de notre ordre judiciaire accomplit
ses missions ? »
Sont en excès de pouvoir ceux qui ne sont pas compétents ;
Sont en excès de pouvoir ceux, qui compétents, ne veulent pas se
dire compétents et participent au déni de justice les frapper ensemble de
suspicion légitime
Dispositions des articles 364, 344, 357 et s du Code de
Procédure
civile.
Et pourtant,
Le 14.02.2017, saisine du PNF en la
personne de Mme HOULETTE Eliane trop préoccupée par FILLON à la demande de
MACRON et sous le contrôle de Bertrand LOUVEL ordure qui a participé à l’élection
truquée de Macron avec Christine LAGARDE tous deux récompensés depuis….
www.voyousdelarepublique.fr/DEFENSE%20DES%20CITOYENS/MACRON/vid%E9o%20macronleaks.mp4
L' arrivée par fraudes graves de Macron à l'Élysée en 2017
(reseauinternational.net)
Le 6 avril 2016 , le parti LREM est créé. L’argent
des groupes financiers abonde, la campagne est lancée. Fin avril 2016
Edouard Philippe maire du Havre est invité par De Castries et Bolloré, à Paris,
ces derniers lui demandent de soutenir Macron puis ils invitent le futur premier
ministre à la réunion BIDELBERG qui se
tient du 10 au 12 juin 2016 à Dresde. Une réunion se tient avec Christine
Lagarde, BAROSO et d’autres financiers.
A l’issue se tient une autre réunion à Berlin où il est décidé de faire de
Macron le Président de la France. Sont présents des financiers, le directeur de
la BCE, Drahi,
Bolloré, Bergé et surprise Mr LOUVEL
Bertrand Président du Conseil supérieur de la Magistrature (que faisait-il là ?). Ils sont rejoints le temps d’un dîner
par Madame Merkel…
Nous possédons
le dossier complet « Macronleaks » ….
Et leur complice LOGEROT
François Logerot,
né le 18 juillet 1936 à Nancy (Meurthe-et-Moselle),
est un magistrat français. Il est premier
président de la Cour des comptes de mars 2001 à juillet 20041.
Biographie[modifier | modifier
le code]
De juillet
1979 à novembre 1982, il est secrétaire général adjoint de la Cour
des comptes puis secrétaire général de novembre 1982 à août
1987. Il est Rapporteur général adjoint, puis rapporteur général du comité du
rapport public et des programmes de la Cour des comptes et président de la 1re chambre
de la Cour des comptes de 1997 à 2001 avant de devenir 34e Premier
président de la Cour des comptes de 2001 à 2004.
Il est président de la Commission nationale des comptes de campagne et des
financements politiques de 2005 à 2020. Son successeur dans
cette dernière fonction est Jean-Philippe
Vachia3.
L’augmentation du contrôleur des comptes de
campagne bientôt déclarée illégale ?
BARTHÉLÉMY PHILIPPE PUBLIÉ
LE 28/10/2020 À 14H25 MIS À JOUR LE 16/11/2020 À 23H49
La
revalorisation salariale accordée en 2018 par le gouvernement Philippe à
François Logerot, alors président de la commission des comptes de
campagne, pourrait bientôt être annulée par le Conseil d’Etat.
EXCLU
CAPITAL
Mise
à jour du lundi 16 novembre à 23h45 : lors de l'audience du 12 novembre 2020,
le Conseil d'Etat a finalement rejeté la requête de l'association Anticor, tendant à annuler pour excès de pouvoir le décret
et l'arrêté du 30 mai 2018 modifiant les modalités de rémunération de François
Logerot, ancien président de la commission des comptes de campagne.
Le Conseil d’Etat s’apprête-t-il à
infliger une leçon de droit administratif au gouvernement en annulant l’augmentation
de salaire dont a bénéficié François Logerot, alors président de la commission
des comptes de campagne (CNCCFP), entre janvier 2018 et février 2020 ? C’est en
tout cas ce que recommande Olivier Fuchs, le rapporteur public du Conseil
d’Etat. Lors de l’audience du 21 octobre dernier, ce dernier a proposé aux
juges du Palais Royal — qui devraient statuer dans les prochaines semaines —
l’annulation des textes concernés, précisément un décret et un arrêté du 30 mai
2018.
Édictés par le gouvernement d’Edouard
Philippe, ces deux textes ont permis au patron de la CNCCFP (de 2005 à 2020) de
voir son salaire bondir de 52%, à compter du 1er janvier 2018. De 4.600 euros
brut par mois au début du quinquennat, sa rémunération avait été portée à 7.000
euros.
OUBLIANT LEUR DEVOIR PAR CORPORATISME DEVIANT
PAYS DES DROITS DE L'HOMME BAFOUES
AUTORITARISME ARBITRAIRE INCOMPETENCE
Le 09.11.2020 j’écrivais en ces termes :
Chers Frères et Sœurs, réunis en association de malfaiteurs au sein d’une
mafia judicaire,
Décret du 5 août 2020 portant décharge de fonctions
7) Bertrand BRUSSET,
magistrat au TGI d’Evreux,
8) Patrice LEMONNIER
Avocat général près la cour d’appel de Rouen,
9) Bruno LE BECACHEL
Président de la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Rouen,
10)
Et tous autres que l’instruction fera apparaître.
Réduite à néant par le juge
BRUSSET, présumé innocent, au motif :
Mme Anne-Gaëlle DUMAS a jugé de mon affaire le 29.08.2017 alors que,
Et que dire de votre collègue muté au Havre :
Une magistrat jugée pour le vol d'un
portefeuille : « Je ne me suis pas rendue compte »
Ordonner l’instruction de ce dossier sans retard par un pôle de juge
d’instruction,